Les chroniques de Hiko 12/10/2021
Jazz News Juillet/Août 2021
« Élégance et nostalgie, de Marseille aux confins des Balkans… »
01 juin 2021 Open Jazz France Musique Alex Duthil
« une couleur très séduisante, Riviera, un nom à suivre… »
6 mai 2021 http://notesdejazz.unblog.fr/ Michel Arcens
« Une esthétique épurée, toujours séduisante, parlant au cœur… »
Dominique Boulay PARIS-MOVE, May 10th 2021
Paris-Move & Blues Magazine (Fr)
« Une totale réussite, l’alchimie musicale fonctionne pleinement! »
Riviera… On avait l’habitude d’associer ce nom avec la région en bordure de Mer Méditerranée, la fameuse French Riviera, mais aussi avec celui porté par des clubs de jazz, justement, comme le Riviera Jazz Band, ou encore un festival, le Riviera Maya Jazz Festival (Mexico), entre autre. Nous pourrons également dorénavant l’associer à un formidable disque de Jazz! Celui proposé par un quartet, précisément, qui a de nombreuses choses à exprimer via la musique. A la lumière de tout ce que nous venons d’évoquer, le nom du quartet en question ne déborde certes pas d’originalité, certes, mais c’est par contre à la lumière des 13 titres que contient l’opus que l’on est saisi par le vent nouveau qu’ils font souffler sur cette musique là! Le Riviera Quartet est composé de Olivier Samouillan, violon alto, orgue, mandoline et compositions (3 morceaux), Stéphane Bularz, contrebasse et composition (8 autres titres), Jérémie Schacre, guitare acoustique et électrique, Guillaume Chevillard, batterie. Quelques invités sont de la partie: Emmanuel Lépine à la guitare rythmique, et Elena Floriani dont la superbe voix colle si bien à la musique du film Le clan Des Siciliens, composée par E. Morricone et J. L. Dabadie. C’est l’une des deux interprétations qui figurent sur le disque à côté des compositions originales. Y figure également El Pajaro Y El Ciervo du chanteur compositeur guitariste leader du groupe Mostly Bear, Bernard Lopez. L’alchimie musicale fonctionne pleinement! On retrouve intelligemment établie la fusion entre les folklores méditerranéens, le jazz manouche ou le jazz plus classique, les musiques d’Europe centrale et une imaginaton débridée dans l’écriture musicale. On pourrait presque penser que la reprise de la musique du film de Henri Verneuil n’est pas fortuite, tant de nombreuses bribes musicales nous évoquent des ambiances cinématographiques. Une totale réussite, comme nous n’en écoutons pas tant que cela, en fait!
Dominique Boulay
Paris-Move & Blues Magazine (Fr)
PARIS-MOVE, May 10th 2021